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La Côte bleue entre le Rouet et la Redonne
Calanque des eaux salées
Viaduc au dessus de la Calanque des eaux salées
La cote bleue vers la calanque du Puy
La Redonne
Calanque des Anthénors
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Ce jeudi la météo est incertaine, j'attends pour partir et comme le ciel est dégagé, à 8h30 je m'en vais pour aller aux Encanaux (Auriol) : direction Col de la Lare par le ravin des infernets.
Départ 9h direction la Glacière puis j'abandonne rapidement le sentier balisé en bleu pour prendre sur la droite une sente qui monte raide pour se retrouver au-dessus du ravin des infernets.
Tout d'abord un petit détour pour aller à l'abri du Figuier (un cairn indique la sente à prendre sur la droite) puis je passe devant la grotte des infernets.
Une petite visite s'impose et là au fond de la grotte une surprise m'attend : il y a un canapé ! Comment l'a-t-on monté jusque là ? Je ne pénètre pas plus loin dans la grotte. Pas de risque à prendre ...
Ensuite une indication sur un rocher à droite indique la grotte des morts. je crapahute et me hisse jusqu'à l'entrée d'un petit boyau que j'explore accroupi sur une cinquantaine de mètres. Ca tourne dans tous les sens ! A refaire pour aller plus loin, mais pas tout seul ...
Je reprends mon sentier pour trouver celui balisé en jaune qui monte vers le col de Bertagne. Pour moi c'est une première, je n'avais encore jamais pris ce chemin. Je monte régulièrement pour arriver sur un plateau où là j'abandonne le balisage jaune pour prendre un sentier marqué au départ "l'Adret". Pas de souci c'est tout droit même si ça monte et descend pour aboutir à une piste venant du Plan d'Aups. La brume m'accompagne et donne une ambiance particulière à cette partie de la randonnée.
Je prend la piste sur la gauche pour monter jusqu'au col de la Lare, je suis sur le GR2013 que je vais suivre jusqu'aux Hélianthes. Le Pic de Bertagne et la Tour de Cauvin sortent du brouillard. Arrivé au Col de la Lare, où les panneaux directionnels ont été enlevés (il ne reste que le poteau ! ), je décide de laisser de coté la crête (cela sera pour une autre fois avec un ciel plus dégagé pour admirer tout le panorama) et descend par la piste en coupant quelques virages.
Après une pause déjeuner (au même endroit où j'avais mangé avec des amis au printemps) le GR quitte la piste pour continuer par un sentier très agréable que je surnomme "le sentier des arbousiers" tellement il y en a et les arbouses tombées sur le sol font office de balisage.
Arrivé aux Hélianthes je prend à gauche "pont des encanaux", balisage bleu. Je quitte le sentier pour descendre vers le ruisseau que je franchis à gué (merci les batons ! ). Cela m'évite d'aller jusqu'au pont des encanaux et de revenir par la piste en face.
13h30 je suis revenu au parking. Un peu plus de 12 km de parcourus pour un dénivelé d'environ 500m.
L'abri du Figuier
Grotte des infernets
Le canapé au fond de la grotte des infernets !
L'accés à la grotte des morts
La grotte des morts !
Couleur d'automne
Rosée du matin
Le GR2013 dans la brume ...
Pic de Bertagne et tour de Cauvin
Col de la Lare
la Garlaban sort des nuages
Sentier des arbousiers
Passage à gué
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Film: Grand central, de Rebecca Zlotowskile jeudi 24 octobre à 20h à la Masc de La Penne sur Huveaune
Histoire d'un amour fatal chez les ouvriers du nucléaire: Gary (Tahar Rahim) rejoint une équipe d'intérimaires dans une centrale nucléaire; travail dangereux qui s'exerce par intermittence tant la contamination menace: plus on cherche à faire d'interventions de maintenance pour gagner plus, plus le corps absorbe de doses de radio-activité. (L'industrie a ainsi résolu le problème de la contamination de son personnel fixe, en externalisant les risques sur du personnel intermittent "nomade" donc difficiles à contrôler).
Là, au plus près des réacteurs, où les doses radioactives sont les plus fortes, Gary tombe amoureux de Karole (Lea Seydoux) , la femme de Toni. L’amour interdit et les radiations contaminent lentement Gary.
Mettre en relation l'irradiation nucléaire et amoureuse, c'est l'originalité de ce film.
Le débat portera sur le délicat problème du nucléaire civil en France et ailleurs.
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A l'occasion du Festival Alimenterre
Lundi 4 novembre à 20h
à la salle Jean Renoir (MASC),
Bd Voltaire, La Penne sur Huveaune (Parking à côté)
Le groupe des 9 du pays d'Aubagne (Agglo Consommateurs Solidaires, ATTAC pays d’Aubagne, Casa-Tana,CCFD Terre Solidaire, Chasaadd-France, Com’étiK diffusion, Kassumay, Peuples Solidaires, Tabalé) vous invite à un débat sur la souveraineté alimentaire et l'accaparement des terres faisant suite à la projection de 2 courts métrages:
Film réalisé par Marie-Monique Robin en 2012L’Accord de Libre Échange Nord-Américain (ALENA) promettait un développement des échanges commerciaux entre les États-Unis, le Canada et le Mexique, dont les bénéfices irrigueraient toute l’économie pour le bien-être général. Seize ans après, le constat est amer. L’ALENA a laminé l’agriculture mexicaine. Le Mexique a du démanteler le système qui permettait son autosuffisance. Le maïs américain, transgénique et subventionné, a inondé le pays, vendu trois fois moins cher que le « criollo » local. Trois millions de petits paysans ont rejoint les bidonvilles ou tenté leur chance comme clandestins aux Etats-Unis. La malnutrition, l’obésité et la pauvreté ont gagné du terrain.Accaparement des terres : « Ruée sur les terres irrigables de l’Office du Niger »
Film réalisé par Philippe RevelliCes accaparements se font sous multiples formes, le plus souvent avec la complicité des élites elles-mêmes, sans aucune concertation avec les populations locales. Ce sont à la fois, la paix sociale et la souveraineté alimentaire voire la souveraineté des Etats qui sont remis en cause !
Au Mali, des accords portant sur plusieurs centaines de milliers d’hectares de terres agricoles de l’Office du Niger ont été signés entre le gouvernement et des investisseurs privés ou publics. Mal informée et rarement consultée, la population subit aujourd’hui les premières conséquences de ces grandes manœuvres foncières…
La première convention à grande échelle par un investisseur étranger, Khadafy, date de 2004, connue sous le nom de Malibya pour 100 000ha, d’autres suivront pour atteindre aujourd’hui une demande couvrant près de 800 000ha, selon le recoupement d’informations, peu disponibles.Débat en présence de Materne MAETZ , économiste agricole :Ces deux films soulèvent plusieurs problèmes :- Quelle agriculture voulons-nous pour demain ?- Quelle souveraineté alimentaire pour les peuples ?- Quel rôle des citoyens et de la société civile dans des accords comme ceux de l’ALENA- Migrations de travailleurs (exode rural, familles éclatées, immigration illégale)
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